Publié par Valentin Doyen le mer, 20/03/2013 - 12:16

Hautes-Alpes: Il reste de la bonne viande dans le département. Rassurez-vous. Certes, le scandale sur la viande de cheval a fait peur aux consommateurs. Mais ces derniers se dirigent de nouveau plus régulièrement vers les boucheries dîtes traditionnelles. Comme celle tenue par Gérard Mondon à Tallard. Le Charolais des Alpes respectent la proximité et souhaite fournir de la viande made-in Hautes-Alpes à ses clients. Le prix est plus coûteux, c'est une évidence. Certains consommateurs croisés à Gap rappellent tout de même que le prix au kilo d'un plat surgelé est peut-être encore plus cher qu'un bon pavé de rumsteak chez l'artisan-boucher de leur quartier. Et puis "notre boucher connaît son produit". Pas comme Spangherro, Findus ou Panzanni? Les consommateurs n'en disent pas plus. Mais l'arrivée de deux nouveaux artisans-bouchers dans le département l'année dernière constitue là une excellente réponse. Écoutez les consommateurs, Gérard Mondon et Claude Davin, président du Syndicat des Bouchers dans les Hautes-Alpes:Le dossier de Valantin Doyen:
