Crash A320 / 150 morts : parmi les autres conséquences

Alpes de Haute-Provence : parmi les autres conséquences de ce drame, la présence de nombreux journalistes, venus du monde entier, la mise en place provisoire de la fibre optique pour couvrir leurs besoins et ces enfants qui vivent tout près du drame, à qui il a fallu expliquer la catastrophe...

 

 

 

L’émotion est immense dans le monde entier et particulièrement en Allemagne et en Espagne qui ont à déplorer le plus grand nombre de victimes. Jean-marc Passeron est avec Anna, une journaliste Espagnole.

 

Comme vous l’imaginez, la population est éberluée et sous le choc à l’image de cette famille qui vivait bien tranquillement au pied du site ou c’est déroulé le drame.

 

Cette information ce matin : Andreas Lubitz souffrait de dépression grave et avait été placé en psychiatrie pendant sa formation. Le quotidien allemand Bild a eu accès au dossier médical du copilote de l'Airbus A320. Un dossier médical édifiant, qui écorne les déclarations du PDG de la Lufthansa hier après-midi. Le jeune homme souffrait de dépression grave. Il avait été placé en psychiatrie pendant sa formation, et sur son dossier était inscrit la mention "SIC". L'homme devait être surveillé régulièrement car il souffrait aussi de "crise de panique et d'attaque de peur".

 

18h30 : les familles des victimes sont arrivées sur les lieux. Le moment le plus solennel a été le recueillement des familles au Vernet, au plus près du site de la catastrophe. Sur place, Jean-Marc Passeron.

13 h 30 : Lors de sa conférence de presse, le Procureur de Marseille, Brice Robin, a indiqué qu'il réfléchissait à la possibilité de requalifier son information d'homicide involontaire en homicide volontaire. Un communiqué sera transmis dans les prochaines heures à ce sujet.

C'est un élément décisif pour l'enquête, révélé par le journal The New York Times, mercredi 25 mars, et confirmé à l'AFP par une source proche de l'enquête : lun des deux pilotes de l'Airbus A320 est resté bloqué à l'extérieur du cockpit avant le crash de l'appareil de la compagnie Germanwings, selon un responsable militaire cité par le quotidien américain. Malgré ses appels, le pilote n'a jamais pu regagner sa place avant la catastrophe, mardi.
"L'autre pilote est seul et n'ouvre pas la porte"

Les deux hommes ont tenu une conversation tout à fait "calme et tranquille", en allemand, pendant le début du trajet entre Barcelone et Düsseldorf, comme le révèle l'enregistreur de voix, embarqué dans le cockpit. Mais, pour une raison inconnue, l'un des deux pilotes a quitté les lieux. "On entend le bruit d'un des sièges qui recule, une porte qui s'ouvre et se referme", confirme la source citée par l'AFP.

Au moment de revenir, les appels du pilote sont restés vains. "Le gars à l'extérieur a frappé doucement sur la porte mais il n'y a pas eu de réponse", explique l'enquêteur militaire anonyme. Puis il a frappé plus fort, toujours sans réponse. "Une chose est sûre : à la toute fin du vol, l'autre pilote est seul et n'ouvre pas la porte", ajoute la source du New York Times. A la fin du vol, les alarmes indiquant la proximité du sol ont retenti, précise l'AFP.
La seconde boîte noire est toujours recherchée.
Contactée par le quotidien américain, une porte-parole du Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA) a refusé de commenter ces informations. "Nous avons un fichier audio dont nous savons qu'il contient des voix et des sons", avait simplement indiqué le directeur du Bureau, Rémi Jouty, lors d'une conférence de presse donnée dans l'après-midi. Il avait refusé d'en dire davantage, précisant que l'exploitation des données du CVR (Cockpit Voice Recorder) pouvait prendre du temps.

Par ailleurs, deux cars et deux avions transportant les familles des victimes vont arriver dans la région, ce jeudi matin. Les premiers corps ont été hélitreuillés hier. Le maire de Seyne-les-Alpes, Francis Hermitte, fait le point pour D!CI TV sur l'accueil des familles des victimes du crash aérien. Au lendemain de la catastrophe, Francis Hermitte rappelle que tout sera fait pour permettre au mieux l'accueil et la prise en charge des familles. Francis Hermitte.

Le point sur les révélations de la nuit dernière selon Europe 1 :

Le mystère s'épaissit, après analyse d'une partie des données de la boîte noire de l'A320 qui s'est écrasé mardi dans les Alpes. L'écoute par les enquêteurs de l'enregistrement des bruits du cockpit a révélé qu'après un début de vol apparemment habituel, l'un des deux pilotes a quitté la cabine de pilotage et n'a pas pu y retourner, a indiqué une source proche de l'enquête au journal New-York Times, des informations que l'AFP a pu confirmer. Contacté par Europe 1, le procureur de la République de Marseille, qui a annoncé une conférence de presse jeudi, n'a pas démenti cette version.

"Une porte qui se referme". "Au début du vol, on entend l'équipage parler normalement, puis on entend le bruit d'un des sièges qui recule, une porte qui s'ouvre et se referme, des bruits indiquant qu'on retape à la porte et il n'y a plus de conversation à ce moment-là jusqu'au crash", a indiqué cette source qui a eu connaissance de la teneur des enregistrements. Le pilote coincé à l'extérieur a frappé à la porte d'abord doucement, puis de plus en plus fort, à mesure qu'il s'inquiète. Son coéquipier resté aux manettes ne lui a jamais répondu. Malaise ? Volonté délibérée ? La boîte noire n'explique pas ce silence.

Les deux pilotes s'exprimaient en allemand. Et, à la fin du vol, les alarmes indiquant la proximité du sol retentissent, a indiqué cette même source, qui n'était pas en mesure de dire si c'était le commandant de bord ou le copilote qui a quitté la cabine de pilotage.

Un digicode pour ouvrir la porte. Bernard Chabert, le consultant aéronautique d'Europe 1, rappelle que ce genre d'incident a déjà eu lieu, puisque "l'an passé, un pilote éthiopien a décidé de détourner son propre appareil sur Genève" en s'enfermant "dans le cockpit", sans possibilité d'y pénétrer. L'expert explique que "de l'intérieur" de la cabine de pilotage, "on peut effectivement verrouiller la porte blindée qui sépare le poste de pilotage de la cabine des passagers". Il existe bien un digicode qui permet de rentrer dans le cockpit à partir de l'extérieur à l'aide d'un code "que seuls les pilotes connaissent". Mais à l'intérieur de la cabine de pilotage, il y a "un loquet" qui peut bloquer l'ouverture de la porte blindée.

Malaise ou suicide ? Pour Bernard Chabert, il y a deux scénarios possibles. Première possibilité : "le pilote resté dans le cockpit a eu un malaise pendant que son collègue est probablement allé aux toilettes". Mais l'inconscience d'un pilote aux manettes "explique-t-elle pour autant la mise en descente de l'avion ?", s'interroge-t-il. "C'est ça le point critique", souligne-t-il.

L'autre possibilité est le suicide. "Il y a déjà eu deux cas d'avions pris en main par des pilotes restés seuls au cockpit qui sont allés jusqu'au sol", rappelle l'expert. Mais "dans ces deux cas", "les pilotes avaient débrayé le pilote automatique, pris les commandes manuelles et avaient précipité l'avion dans une descente verticale, ce qui n'a pas été le cas dans cet accident", explique à Europe 1 Bernard Chabert.

"On ne ferme aucune hypothèse". Sur l'explication du drame, "on ne ferme aucune hypothèse", avait indiqué mercredi le directeur du Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA) Rémi Jouty. Il a cependant précisé que l'avion n'avait pas explosé en vol, mais avait bien "volé jusqu'au bout" avant de se désintégrer en milliers de morceaux contre la montagne. Mercredi matin, le ministre de l'Intérieur français avait indiqué que l'hypothèse terroriste n'était "pas privilégiée". La deuxième boîte noire est, elle, toujours recherchée par les autorités dans les débris de l'avion.

 

 Le Point.fr (avec l'AFP)

Après un début de vol habituel, l'un des deux pilotes de l'Airbus A320 de Germanwings qui s'est écrasé mardi dans les Alpes françaises, avec 150 personnes à bord, a quitté le cockpit et a été dans l'impossibilité d'y retourner pendant la chute de l'appareil. Ces informations ont été confiées par une source proche de l'enquête ayant eu connaissance de la teneur des enregistrements de la boîte noire, confirmant celles initialement dévoilées par le New York Times, et marquent une nette accélération de l'enquête après l'accident qui a suscité une émotion considérable dans toute l'Europe.

"Au début du vol, on entend l'équipage parler normalement, puis on entend le bruit d'un des sièges qui recule, une porte qui s'ouvre et se referme, des bruits indiquant qu'on retape à la porte et il n'y a plus de conversation à ce moment-là jusqu'au crash", a indiqué cette source qui n'était pas en mesure de dire si c'était le commandant de bord ou le copilote qui a quitté la cabine de pilotage. Ces informations proviennent de l'audition par les enquêteurs de la boîte noire enregistrant les sons dans le cockpit. Le cockpit voice recorder (CVR) a été retrouvé mardi quelques heures après l'accident et sa lecture a été effectuée mercredi en fin de journée.
Geste prémédité ?

Cette révélation vient donner du grain à moudre à ceux qui évoquent depuis 48 heures un geste prémédité qui aurait mené à ce crash. Et si le pilote resté aux commandes avait voulu se suicider ou précipiter volontairement pour des raisons encore inconnues l'A320 au sol. Les enquêteurs restent pour le moment très prudent. Il leur faudra sans doute plusieurs mois pour établir les circonstances exactes d'un drame qui a coûté la vie à 150 personnes.

Sur l'explication du drame, "à ce stade, on ne ferme aucune hypothèse", avait indiqué mercredi le directeur du Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA) Rémi Jouty, précisant toutefois que l'avion n'avait pas explosé en vol, mais avait bien "volé jusqu'au bout" avant de se désintégrer en milliers de morceaux contre la montagne.
Hypothèse terroriste "pas privilégiée"

Mercredi matin, le ministre de l'Intérieur français avait indiqué que l'hypothèse terroriste n'était "pas privilégiée". "Si les pilotes n'ont pas empêché l'avion d'aller s'écraser contre les montagnes, c'est que soit ils étaient inconscients ou morts, soit ils ont décidé de mourir, soit on les a obligés à mourir", avait résumé un expert.

Selon une autre source proche du dossier, interrogée dans la nuit de mercredi à jeudi par le copilote de l'appareil était entré "récemment dans la compagnie" allemande Germanwings, filiale de Lufthansa, "fin 2013, avec à son actif quelques centaines d'heures de vol". Sa nationalité n'est par ailleurs pas connue avec précision, a poursuivi la même source.

 

15:05 On fait le point à présent avec le commandant du PGHM de Jausiers, Yves Naffrechoux, qui vient de rencontrer le Président de la République à Seyne. Il nous explique où en sont les recherches et l'enquête sur ce site particulièrement escarpé. 

 

14h30 : Une soixantaine de militaires du 4RC de Gap ont été réquisitionnés par la préfète pour prendre part aux opérations sur le site du crash. Ils vont déployer des véhicules articulés chenillés pour transporter des secours dans la zone du crash. 

 

14h20 : Le président de la République François Hollande et la Chancelière allemande, Angela Merkel, et Mariano Rajoy, Premier ministre espagnol, viennent d'arriver à Seyne-les-Alpes. Cet après-midi, ils vont rencontrer les familles des victimes du crash, et se rendront au Vernet sur les lieux, ainsi qu'à la chapelle ardente installée au coeur du gymnase de Seyne-les-Alpes.

 

 

Le procureur de la République de Marseille, Brice Robin, a fait un point sur la situation ce matin. Au cours de son point presse, il a rappelé que la boîte noire était "à l'étude" au BEA (Bureau enquête accident) à Paris. La boîte noire retrouvée hier après-midi a été "très très abîmée" a précisé Brice Robin. Lequel a toutefois rajouté que des premiers résultats "partiels" pourraient peut-être être présentés en fin d'après-midi. 

Sur place à Seyne, une drop zone a été mise en place. Elle sert a accueillir les hélicoptères, qui font des allers-retours réguliers entre Seyne et le site du crash. Sur le site, les autorités préservent au maximum la zone, avec 12 gendarmes seulement hélitreuillés ce matin pour récolter les indices.

 

Au lendemain du crash de l’Airbus A320 de Germanwings qui a fait 150 victimes, les recherches ont repris à l’aube. Retrouvée endommagée, la boîte noire enregistrant les sons du cockpit va être analysée dès ce matin à Paris.

Selon nos informations, les familles des victimes sont attendues au Vernet et sur la commune de Prads-Haute-Bléone. Elles devraient être logées sur ces deux communes. 

- Les rotations d'hélicoptères ont repris peu avant 8 heures
- Les causes de l'accident restent inconnues
- Une première boite noire a été retrouvée mardi, la seconde est toujours recherchée
- Une chapelle ardente a été dressée à proximité, les familles de victimes sont attendues
- Hollande, Merkel et Rajoy sur place à 14 heures
- Trois jours de deuil national décrétés en Espagne

Les recherches ont été  suspendues  hier soir par les autorités et ont repris très tôt ce matin. Cette nuit,  au dessus de 1700 mètres, quelques flocons mêlés de pluie sont tombés ce qui ne va pas faciliter les recherches de ce jour ni la poursuite de la sécurisation du site qui n'est accessible qu'à pied.

Après Ségolène Royal, Bernard Cazeneuve et Alain Vidaliès. venus sur place  hier, ce mercredi est attendu le président de la République, François Hollande, et la Chancelière allemande, Angela Merkel,  qui devraient être sur site dans les Alpes de Haute-Provence. en début d'après midi  Le Premier ministre espagnol, Mariano Rajoy, sera également présent.

L'avion de Germanwings qui s'est écrasé hier matin transportait 150 personnes. Des Allemands, des Espagnols et des Turcs. 67 Allemands étaient à bord. Notez que 2 bébés étaient dans l'avion. Et 6 membres d'équipage : deux dans le cockpit et quatre en cabine. L'un des pilotes avait "plus de dix ans" d'expérience et "plus de 6 000 heures de vol", selon la compagnie allemande Germanwings.

Il y avait aussi 45 ressortissants espagnols selon la liste que détient la compagnie aérienne. 

Parmi les victimes, 16 lycéens allemands qui venaient de passer une semaine près de Barcelone avec deux de leurs enseignants dans le cadre d'un échange scolaire. Ce sont des enfants en quatrième année de secondaire, âgés d'une quinzaine d'années.

L'Espagne va observer trois jours de deuil national. 

 

Terrible accident hier  matin.  Un Airbus A320 s'est crashé  hier matin entre Digne-les-Bains et Barcelonnette, dans le massif du Pic de l'Estrop, au coeur du massif des Trois évêchés vers 1500 mètres d'altitude. 144 passagers et 6 membres d'équipages étaient à bord de l'avion. L'avion de la compagnie allemande German Wings faisait une liaison régulière entre Barcelonne et Dusseldorf. Il avait déjà fait la liaison tôt ce matin dans l’autre sens, et le vol s’était déroulé sans encombre. Deux hélicoptères de la gendarmerie ont repéré l'appareil près de Prads-Haute-Bléone, entre Digne et Barcelonnette. Le crash a eu lieu  vers 1500 mètres d'altitude et les débris sont éparpillés sur plus d'un kilomètre.  240 pompiers et 210 gendarmes des Hautes-Alpes, Bouches-du-Rhône et Alpes-Maritimes sont sur place pour apporter de l'aide sur une zone très difficile d'accès.  Le gymnase de Seyne-les-Alpes a été réquisitionné comme cellule de crise. L'aérodrome est aussi réquisitionné pour les secours. 150 pompiers Hauts-Alpins sont également sur place.  Le plan blanc (plan d'urgence maximale) a été déclaré sur l'hôpital de Digne.  Il s’agit de la pire catastrophe aérienne de l’histoire en France depuis 1974 et de la première depuis le crash du Concorde le 25 juillet 2000 à Garges-lès-Gonesse qui avait fait 113 morts. Les recherches sont d'autant plus compliquées que les hélicoptères ne peuvent pas se poser sur place et qu' il va falloir recourir à la technique du treuillage selon Jean-Paul Bloin lieutenant-colonel . Bernard Cazeneuve  a annoncé qu'une boite noire a été retrouvée. Elle serait endommagée mais exploitable. La seconde boite noire est activement recherchée. la BEA (Bureau d'Enquêtes et d'Analyses) a ouvert une enquête sur ce crash.

D'après la déclaration du Président de la République, François Hollande, il n'y aurait pas de survivants.Selon les premiers éléments 45 des victimes seraient Espagnoles et 67 allemandes (selon Germanwings) et d'autres victimes turques. Selon les derniers éléments une classe d'élèves allemands en échange d'une quizaine d'année et 2 de leur professeur compteraient parmi les victimes.  Il n'y aurait pas de victimes françaises.  Selon Christophe Castaner le Député des Alpes de Hautes-Provence qui a survolé le vallon de Galèbre, lieu de l'accident, c'est une vision d'horreur " Des Images épouvantables dans ce paysage de montagne. Il ne reste rien que des débris et des corps."

 

Le vol s'est déclaré en état de détresse  ce mardi à 10 h 47, la navigation aérienne déclare une perte radio-radar.  Selon les dernières informations de Météo France, les conditions météo étaient « particulièrement calmes au moment du crash ». Le temps était sec et le ciel totalement dégagé durant toute la matinée avec un vent faible, voire nul. Météo France ajoute que « des nuages dangereux comme des cumulonimbus n'étaient pas présents ». Les seules zones concernées par des pluies et des orages étaient le golfe du Lion et la Méditerranée, que l'avion avait survolés en début de matinée. Selon les premiers éléments l'avion aurait perdu de l'altitude pendant 10 minutes environ avant le drame, la chute aurait duré environ 8 minutes. D'après les premiers éléments l'équipage de l'Airbus A320 de GermanWings n'aurait pas émis de signal de détresse. Il s'agirait d'un contrôleur aérien du centre de contrôle en route d'Aix-en-Provence,  qui a constaté que l'équipage ne répondait plus à ses appels et  a observé une chute de l'appareil. Il a aussitôt déclenché l'alerte. Manuel Waltz annonce qu’aucune hypothèse n’est à écarter.

 

Le dernier crash d'importance en territoire métropolitain est l'accident du Concorde d'Air France, le 25 juillet 2000, qui s'était écrasé sur un hôtel juste après son décollage de l'aéroport de Roissy, tuant 113 personnes. Un A320 de la compagnie Air Inter s'était écrasé le 20 janvier 1992 au mont Sainte-Odile, près de Strasbourg, faisant 87 morts. La pire catastrophe aérienne en territoire métropolitain remonte au 3 mars 1974, quand un DC-10 des Turkish Airlines s'était écrasé à Ermenonville (Oise), peu après son décollage de Paris, faisant 346 morts. 

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