Les grandes lignes du nouvel exécutif du Conseil Départemental des Hautes-Alpes

C'est aujourd'hui que devraient  être annoncées, les responsabilités dans le nouvel exécutif départemental.

Peu de surprises sont attendues, et cela pourrait prendre la forme suivante:

- 1er Vice-Président: Patrick Ricou: finances, développement économique, et président de l'Addet
 -2ème Vice Présidente :Maryvonne Grenier:  éducation
-3ème vice président: Marcel Cannat, routes et infrastructures, transports  et président du Sdis
Marie-Noëlle Disdier, devrait prendre en charge les affaires sociales, Roger Didier conserver l'OPHLM, Daniel Galland, le sport et les grands événements, Bénédicte Férotin, culture, avec Bernadette Saudemont. Marine Michel prendrait la responsabilité des  syndicat mixtes, MARC Viossat l'agenda 21 et l'environnement, Gérard Thenoux les nouvelles technologies.

 

Hautes-Alpes : C'est sa première interview depuis qu'il a été élu, le 2 avril dernier, président du Département des Hautes-Alpes : Jean-Marie Bernard était l'invité D!CI ce lundi sur D!CI TV et D!CI Radio 90.2. L'ancien maire du Dévoluy, conseiller départemental de Veynes est revenu sur cette fameuse élection du 2 avril... Sur D!CI TV, Jean-Marie Bernard a donné le ton de sa présidence bien au delà des clivages politiques. Une volonté d'union nécessaire au regard des enjeux économiques et de la période compliquée que connaît notre département. Depuis le 2 avril, tout est apaisé. La majorité est claire : elle compte 22 conseillers départementaux, dont Roger Didier. L'opposition 8 CD. Et JMB compte bien les associer dans le travail de l'assemblée. S'agissant des finances, un audit va être réalisé pour connaître précisément la marge de manœuvre , mais comme il le dit, au regard des aides des dotations de l'état, il va falloir se serrer la ceinture. Fini malheureusement le saupoudrage, chaque dépense ira dans le sens de la stratégie de développement du département. Le principe : réduction des dépenses de fonctionnement , et maintient des investissement à hauteur de 40 millions d'euros par an pour soutenir le tissu économique.
L'ancien maire du Dévoluy a dit toute son émotion d'avoir été contraint de quitter ce poste, à cause du cumul des mandats. Il a évoqué enfin, le dossier de la RN91 en disant toute son inquiétude. Les investissements qui s'imposent pour cet axe essentiel pour l'économie ne sont pas à échelle des capacités financières des Hautes-Alpes ni même de l'Isère. Interview.

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