Publié par Valentin Doyen le ven, 01/05/2015 - 08:00

Hautes-Alpes : Jean-Marie BERNARD réagit aux déclarations de Madame Henriette MARTINEZ
A l’issue du Comité départemental de l’UMP, alors que la Présidente démissionnaire Henriette MARTINEZ avait annoncé qu’elle ne ferait plus de déclarations dans la presse, le Président du Département, Jean-Marie BERNARD, a lu avec étonnement ses propos le mettant nommément en cause. C’est pourquoi, il tient à réagir :
« Je respecte la décision qui a été prise par Mme MARTINEZ de démissionner de ses fonctions de Présidente de la Fédération départementale de l’UMP et je salue d’ailleurs son action militante depuis de très nombreuses années. Pour autant, je dénonce la politique de « terre brûlée » que Mme MARTINEZ met en œuvre depuis quelques semaines afin de semer la zizanie et de s’assurer qu’après elle, ce sera la panique !
S’agissant des Départementales, la Majorité départementale et l’UMP n’ont pas choisi les mêmes candidats dans tous les cantons. Mais au soir du 1er tour, chacun s’est rangé derrière le mieux placé. Comme Henriette MARTINEZ, je déplore le résultat du canton de LARAGNE d’autant que j’avais apporté mon soutien personnel à l’équipe GARCIN/LAGIER. Les électeurs ont tranché, un recours a été déposé, il est inutile de polémiquer.
S’agissant de mon élection à la Présidence du Conseil départemental, j’ai une majorité de droite et du centre et je suis un Président UMP ! En tant que ex-Présidente de l’UMP, Madame MARTINEZ devrait donc s’en réjouir.
Ma présidence au Conseil départemental s’inscrit dans l’action en faveur de tous les haut-alpins. Je ne fais pas partie de ceux qui disent - On a gagné grâce à moi, on a perdu à cause des autres -. De telles déclarations ne font le jeu que des extrêmes et ce n’est pas ma conception de l’engagement politique. Après cette période « troublée » des élections, j’aspire comme l’ensemble de mes collègues au Conseil départemental à mettre toute mon énergie dans notre projet pour les Hautes-Alpes.
Je sais que les élus partagent mon enthousiasme et je voudrais que l’on nous laisse travailler ! C’est ce qu’attendent les haut-alpins et je ne vais pas les décevoir.