Publié par Anonyme (non vérifié) le jeu, 03/12/2015 - 18:29

Les obsèques de la jeune Estelle Leclerc, 17 ans, décédée après s'être fait renversée par un bus vers la gare de Gap, auront lieu ce lundi à 9 heure en l'église de Saint Michel à l'Argentière-la-Bessée. C'est le prêtre de Briançon qui va faire la messe.
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L'autopsie ordonnée par le parquet de Gap a révélé qu'Estelle Leclerc est décédée des suites de ses blessures. Pour le commissariat, c'est un accident. La jeune argentiéroise, élève en Terminale Sciences et technologie du sanitaire et du social au lycée Honoré Romane à Embrun, est morte hier dans un hôpital de Marseille. Jeudi dernier, l'adolescente de 17 ans avait été renversée par un bus, au céder le passage à l'intersection de l'avenue de la gare et du boulevard Maréchal Foch. Une enquête a été ouverte par le parquet de Gap. Raphaël Balland, le procureur de la République indique que cette information judiciaire s'est transformée en enquête pour "homicide involontaire". Estelle Leclerc avait été sérieusement blessée à une cheville et au bassin. Évacuée sur Marseille, elle a développé une embolie graisseuse et est tombée dans le coma jeudi soir. Elle est décédée ce lundi. L'enquête doit, à présent, déterminer les liens de cause à effet entre l'accident et le décès de la jeune Estelle Leclerc. Notez que les contrôles effectués sur le chauffeur de bus n'ont révélé aucune trace d'alcoolémie ou de stupéfiants.
Décès d'Estelle: Mise au point
Si l'émotion suite à ce type de drame est évidement naturelle,
S'il est naturel que ces réactions soient dans ces circonstances en partie irrationnelle
il ne s'agit pas pour autant de tout mélanger.
Notre devoir est d'informer.
Contrairement à ce qui peut-être écrit sur le grand défouloir que sont les réseaux sociaux la rédaction a (il suffit de lire) simplement rendu compte du drame et (recueilli deux jours après la triste nouvelle) les témoignes d'amitiés de ses collègues de classe qui souhaitaient volontairement dire leur émotion
comme le font tous les media, systématiquement, localement et nationalement.
A défaut d'information officielle ou parentale directe, notre rôle a été de mener une brève enquête téléphonique pour savoir ce qu'il était opportun de faire savoir ou pas et nous n'avons d'ailleurs pas diffusé ni rendu compte de ces entretiens considérant qu'il n'apportaient rien à l'information des populations et ce en accord avec la direction de l'établissement scolaire concerné.
En ces circonstances, l'heure est plutôt au recueillement et à la pondération plutôt qu'à de vaines polémiques