Hautes-Alpes : Jean-Michel Arnaud candidat aux élections sénatoriales

Les élections sénatoriales seront animées dans le département des Hautes-Alpes : après l’annonce de la sénatrice actuelle Patricia Morhet-Richaud de sa candidature à sa propre succession, c’est Jean-Michel Arnaud, le président des maires du département des Hautes-Alpes et le maire de Tallard qui annonce aujourd’hui sa candidature pour cette prochaine échéance électorale. Deux candidats de sensibilité de droite modérée donc et, à ce stade, toujours pas de candidats à gauche même si le nom de Joël Bonnaffoux, le maire de La Bâtie-Neuve, revient très régulièrement. Reste une inconnue, que va décider le maire de Gap Roger Didier ? Celui-ci devrait annoncer sa décision sous peu, a priori ce lundi. En attendant, Jean-Michel Arnaud se positionne comme une alternative en mettant en avant son ancrage local pour faire valoir les besoins du département haut-alpin au Parlement :

Le communiqué de Jean-Michel Arnaud :

Dans 36 jours, le dimanche 27 septembre, se dérouleront les élections sénatoriales. Après une longue période de réflexion, je suis candidat au mandat de Sénateur. Ma volonté́ est forte de porter avec vigueur la voix des Hautes-Alpes au Sénat, « l’Assemblée des collectivités territoriales de France ». Par ailleurs, cette candidature est la concrétisation d’un long parcours au service des Haut-Alpins. Depuis ma première élection il y a 22 ans, je suis pleinement mobilisépour servir l’intérêt général. J’ai toujours eu à cœur de faire participer la population et mes collègues élus aux principales décisions. Président de l’Association des Maires des Hautes-Alpes depuis 2001, j’ai en permanence cherché à accompagner tous les maires et les élus locaux de notre département, quels qu’il soient, à les aider concrètement au quotidien dans leurs prises de décisions et dans leurs recherches de financement. Au coeur des crises successives, le rôle primordial des maires auprès de nos concitoyennes et concitoyens, a été unanimement salué. J’en connais l’importance. J’entends me mobiliser pour leur redonner des moyens d’action au plus près du terrain. Il importe en particulier de garantir les ressources publiques nécessaires à leurs actions, réduisant l’écart entre les dotations servies aux métropoles et celles octroyées aux collectivités rurales. Si j’ai choisi d’être candidat au Sénat, c’est pour concrètement interpeller le gouvernement sur les actions urgentes àmener en faveur de nos territoires. Ma candidature s’inscrit donc dans cette dynamique, sans ancrage politique particulier autre que le service et l’écoute à porter aux élus locaux et aux Haut-Alpins.

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