Hautes-Alpes : le couvre-feu aurait pu être une aubaine, c'est finalement une épine en plus dans le pied des hôteliers

Si le milieu de la restauration souffre cette année, c'est aussi le cas de l'hôtellerie dont la fréquentation dépend beaucoup du tourisme. Avec la mise en place du couvre-feu, la situation se complique davantage, alors que les professionnels du secteur constataient déjà avant la frilosité des clients à se déplacer. Désormais, les gérants naviguent à vue et s'adaptent au jour le jour, à l'image de Thierry Elie, directeur de l'hôtel Best Western de Gap :

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