Une arrivée à Super-Dévoluy et Barcelonnette ou au Super-Sauze pour le Tour de France 2024!

Si le Tour fait l'impasse sur notre région cette année, il fera son grand retour dans les Hautes-Alpes et les Alpes du Sud entre aux alentours des 17,18 et le 19 juillet  2024 même si cela ne sera officiel qu'en octobre prochain.

II sera à nouveau dans les Hautes-Alpes selon toute vraisemblance en 2025 avec dans les tuyaux un retour au col du Granon après le succès de cette arrivée en 2022

 

                                 Une arrivée à Super-Dévoluy et une arrivée à Barcelonnette et 3 jours au moins dans la région !  

 

Le Tour de France fera la part belle aux Hautes-Alpes et aux Alpes de Haute-Provence l'été prochain.

Dans la dernière semaine de ce Tour de France atypique puisqu'il partira de florence et arrivera à Nice en raison des Jeux Olympiques de Paris; le tour sillonnera quasiment chacune des vallées des Alpes du Sud entre le 16 (ou 17) et le 19 juillet.

Tout reste à confirmer bien entendu et comme à l'habitude lors de la présentation de l'épreuve en octobre à Paris mais il est acquis que la Grande Boucle reviendra l'été prochain selon un usage visant à un passage du tout dans les Hautes-Alpes presque 2 années sur 3.

Il y aura donc une arrivée, souhaitée depuis longtemps, à Super-Dévoluy (le 17 juillet?) et une autre selon toute vraisemblance à Barcelonnette ou au Super-Sauze , peut-être le 18 juillet (on a aussi parlé du Super-Sauze) éventuellement au départ de Gap.

On peut s'attendre aussi à  un départ d'Embrun que l’organisateur ASO apprécie, le vendredi 19 juillet  pour une étape conduisant les coureurs dans Les alpes Maritimes  via les cols de Vars et le plus haut col d'Europe Restefond/ la Bonette. 

Mais comme à l'habitude les consignes de discrétion données par A.S.O conduisent au plus grand mutisme chez les décideurs de la région.

 

Nous pouvons donc compter sur  3 jours de Tour de France (voire plus) dans les Hautes-Alpes et l'Ubaye ce qui constitue une aubaine, chacun ayant noté combien le Tour a manqué lors de ce mois de juillet 2023.

Le tracés définitifs pourrait nous réserver d'autre heureuses surprises dans la région. Reste à savoir également si nous aurons la chance d'avoir à accueilli l’Étape du Tour, une épreuve pourvoyeuse d'encore plus de retombées.

L'espoir réside aussi à présent dans la volonté de recevoir là terme, le  Tour de France Féminin.

Quant à l'avenir un retour dans le Briançonnais est dans les tuyaux pour 2025 avec un retour au col du Granon D'autres communes sont sur les rangs à l'image de Manosque, Sisteron, Orcières et tant d'autres.

Les idées ne manquent d'ailleurs pas chez nous comme celle d'une arrivée au Mont-Collombis qui constituerait une première et un événement au regard de la difficulté de l'ascension et le panorama exceptionnel à l'arrivée.

 

                  Les 3 premières étapes en Italie

 

Samedi 29 juin: étape 1 : Florence > Rimini, 205 km.

Dimanche 30 juin, étape 2 : Cesenatico > Bologne, 200 km.

Lundi 1er juillet, étape 3 : Plaisance > Turin, 225 km. Près de chez nous

On peut imaginer ensuite une étape entre Turin et les Alpes du Nord : Val d'Isère via le Mont-Cenis et l'Iseran par exemple

Autre hypothèse un passage par Montgenèvre et par exemle le Galibier.

                                 

                   Trois jours ou plus dans les Hautes-Alpes et l'Ubaye

Reste donc à imaginer le scénario: cela pourrait prendre cette forme par exemple

Mercredi 17 juillet : Une arrivée à Super-Dévoluy en provenance du pied du Mont ventoux?

Jeudi 18 juillet :  Une étape Gap-Barcelonnette ou au Super-Sauze? Certains espèrent voir le Tour franchir pour la première fois le col de Moissières...

Vendredi 19 juillet : Une étape Embrun-Isola 2000 (ou Auron) via les cols de Vars et de Restefond/ la Bonette ?

 

                    Les deux dernières étapes déjà connues

Samedi 20 juillet : Nice - Col de la Couillole : L'étape  sera tracée sur les routes de l'arrière-pays niçois. Elle partira de Nice et emmènera les coureurs au sommet du col de la Couillole, lieu d’arrivée de la dernière étape de l’édition de Paris-Nice 2022, remporté par Tadej Pogačar. Pour y parvenir, les coureurs emprunteront le col de Turini, où Egan Bernal avait endossé le maillot jaune en 2019, mais aussi le col de La Colmiane ùu Primož Roglič s’était imposé sur Paris-Nice en 2021.

Dimanche 21 juillet : Monaco-Nice: Contre la montre final. Après 110 éditions conclues à Paris ou en proche banlieue, le Tour de France s'achèvera pour la première fois loin de Paris en 2024 avec une arrivée à Nice, le 21 juillet. 35 ans après l'épique duel entre Greg LeMond et Laurent Fignon qui vit l'Américain s'imposer pour 8 secondes, un contre-la-montre sera à nouveau l'ultime juge de paix du Tour de France

 

 

Le départ d'Italie

Samedi 29 juin, étape 1 : Florence > Rimini, 205 km. Dimanche 30 juin, étape 2 : Cesenatico > Bologne, 200 km. Lundi 1er juillet, étape 3 : Plaisance > Turin, 225 km.

Plus d'infos sur le départ d'iIalie ICI

https://www.francetvinfo.fr/tour-de-france/tour-de-france-2024-la-grande...

 

 

 

 

 

Le Tour 2023

Ø  Le Tour de France 2023, dont le Grand Départ sera donné au Pays Basque avec une première étape à Bilbao le 1er juillet, s’achèvera à Paris le 23 juillet, au terme d’un parcours de 3 404 km allant chercher des difficultés dans les cinq massifs montagneux du pays.

Ø  La conquête du Maillot Jaune connaîtra un épisode décisif et fort en émotions au Puy de Dôme, où une arrivée sera jugée 35 ans après la victoire du Danois Johnny Weltz. Le retour sur cette ascension de légende est accompagné de la montée en puissance de sites qui marqueront les Tours du futur, comme le Grand Colombier ou le col de la Loze.

Ø  L’unique contre-la-montre du Tour 2023 se disputera sur 22 kilomètres entre Passy et la station haut-savoyarde de Combloux. Les sprinteurs auront eux aussi l’occasion de s’exprimer à Bordeaux, Limoges, Moulins ou encore sur l’arrivée finale des Champs-Elysées.

C’est à Bilbao que le 1er juillet prochain, le Tour de France fêtera ses 120 ans. Le Grand Départ du Pays Basque offre précisément un décor et des routes qui font honneur aux pionniers de 1903, car leurs héritiers seront plongés dès les premiers débats dans une séquence pyrénéenne à rebondissements, côté espagnol comme côté français. Les puncheurs trouveront leurs marques sur les terres de la Clasica San Sebastian (étape 2), tandis que les sprinteurs devraient avoir la voie libre à Bayonne (étape 3) puis sur le circuit de Nogaro (étape 4), et les grimpeurs devront déjà réciter des gammes bien abouties sur les étapes de Laruns (étape 5) et de Cauterets-Cambasque (étape 6). Les rares coups d’envoi du Tour donnés dans le sud annoncent un programme dense : mais le total de 30 ascensions classées en 2e catégorie ou au-delà tient au grand chelem des montagnes à réaliser cette année, puisque les cinq massifs montagneux de l’hexagone seront visités par le peloton.

 

Dans cette collection de montées plus ou moins exigeantes, les regards seront sans aucun doute tournés vers le Puy de Dôme (étape 9), dont la route sera à nouveau ouverte aux coureurs du Tour (mais pas à leurs supporters) 35 ans après la dernière escalade sur les hauteurs de Clermont-Ferrand. Ces retrouvailles qui font ressurgir les images du duel Anquetil-Poulidor en 1964 ou le souvenir de la victoire de Fausto Coppi en 1952, l’édition des premières grandes arrivées en altitude, promettent surtout une première bataille à haute tension entre les prétendants au titre. Les quatre derniers kilomètres de bitume avant la ligne d’arrivée, avec près de 12 % de pente moyenne, peuvent servir de mèche pour enflammer à nouveau le volcan endormi.

 

Les champions ont rendez-vous avec la légende au Puy de Dôme, mais aussi sur les cimes où se profilent les joutes les plus acharnées dans le futur. Un « bébé légende » se présente par exemple le jour de la fête nationale, l’explication se jouant au Grand Colombier (étape 13), où une ligne d’arrivée sera tracée pour la deuxième fois de l’histoire. Et après le sommet jurassien, les cadors se départageront notamment au col de la Loze, juste avant de plonger sur l’altiport de Courchevel (étape 17), en conclusion d’une séquence alpestre où les plus forts deviendront tout simplement intouchables. Le col puis la descente de Joux Plane avant Morzine (étape 14), la montée au Bettex le lendemain (étape 15), tout comme la côte de Domancy au programme de l’unique chrono du Tour (étape 16), se chargeront en effet de faire et défaire une hiérarchie entre la poignée de coureurs concernés par le Maillot Jaune. Le tempérament observé sur toutes les routes de la planète vélo chez les favoris attendus indique qu’ils ne laisseront passer aucune occasion de se rendre coup pour coup.

 

Ce sera encore le cas à la veille de l’arrivée finale, les reliefs de l’étape vosgienne en direction du Markstein offrant 3 500 mètres de dénivelé positif sur seulement 133 km, en franchissant notamment le col de Grosse Pierre, le Petit Ballon et le Platzerwasel (étape 20). Le verdict alsacien sera célébré le lendemain sur les Champs-Elysées, où s’achèvera un festival du sprint qui sera aussi passé par Bordeaux, Limoges, Moulins ou encore Poligny. Du prestige dans tous les registres ! 

 

 

 

L’ÉTAPE DU TOUR DE FRANCE 2023 : CAP SUR MORZINE

 

La 31ème édition de L’Étape du Tour de France se tiendra dimanche 9 juillet 2023 sur le parcours de la 14ème étape du Tour de France, entre Annemasse et Morzine, soit 152 km et 4 100 m de dénivelé positif cumulé.

 

Au total, ce sont cinq cols à gravir : col de Saxel, col de Cou, col du Feu, col de la Ramaz et le col de Joux Plane, classé hors catégorie, avant de franchir la ligne d’arrivée à Morzine.

 

Les inscriptions seront ouvertes à partir du mercredi 2 novembre, à 16 h, sur la plateforme time to.

 

 

 

Le Tour de France Femmes 2023

Un pas de géant chaque année. Après la première édition du Tour de France Femmes avec Zwift, qui a vu le peloton s’élancer des Champs-Élysées pour achever sa route sur les reliefs de l’Est du pays, franchissant notamment le Ballon d’Alsace comme l’avaient fait les pionniers de 1905, la course met le cap sur le Massif Central puis les Pyrénées pour proposer de nouveaux défis aux coureuses. En rassemblant le peloton à Clermont-Ferrand, l’accent est une fois de plus mis sur le lien entre la course féminine et l’histoire du  Tour. Elles ne monteront pas au Puy de Dôme cette fois-ci, mais goûteront dès les premiers jours aux aspérités de la géologie auvergnate : de façon délicate dans la première étape qui ne verra peut-être pas le peloton totalement éparpillé ; puis de manière plus marquée sur la route de Mauriac où elles devront encaisser un dénivelé positif de 2 500 mètres avant de batailler pour le bouquet du jour.

Les sprinteuses auront probablement la parole à Montignac, où se trouve la grotte de Lascaux, mais devraient laisser leur chance sur la plus longue étape de la semaine (177 km), les côtes aveyronnaises se chargeant de sélectionner pour l’arrivée à Rodez les plus résistantes d’une échappée ou les puncheuses les plus tranchantes. L’air des Pyrénéescommencera à se faire sentir sur les étapes d’Albi et de Blagnac, mais c’est le week-end venu que  les candidates au Maillot Jaune se départageront pour la première fois en haute montagne. La légende est à nouveau au rendez-vous au col du Tourmalet, où les cyclistes du Tour ont goûté pour la première fois à l’altitude en 1910, à  2115 mètres. La ligne d’arrivée de la septième étape a été tracée cinq mètres plus bas, dans un décor où seules les meilleures grimpeuses du monde peuvent envisager la victoire. Celle qui y parviendra comptera probablement parmi les protagonistes encore en lice sur le contre-la-montre final, empruntant autour de Pau, mais en partie en sens inverse, le parcours sur lequel Julian Alaphilippe avait défendu son Maillot Jaune en 2019.

 

 

 

 

 

 

 

au moins 3 jours dans la région