
Le message de Thomas Pesquet
En triant mes images, je retombe sur cette photo de Kyiv la nuit en 2017: comme tout semblait paisible à l’époque… je n’ose imaginer à quoi ressemblerait cette photo aujourd’hui… petit rappel, à toutes fins utiles, que les frontières ne se voient pas de l’espace, tout simplement parce qu’elles ne sont rien d’autre qu’une création de l’esprit humain.